Travaux à la villa en 2018

Janvier 2018
Comme l'hiver précédent, je ne transporte presque rien.
J'ai redressé le radiateur avec beaucoup de difficultés et avant de remettre la tôlerie, je le branche en fils volants.
Le 13, je laisse tomber une vis dans la la gamelle de la soufflerie.
Comme je ne veux pas coucher à nouveau le radiateur, je le soulève côté soufflerie mais pour déposer cette dernière,
je dois d'abord enlever le pied qui cache deux des vis.



La dernière photo est prise en glissant l'appareil dessous. Mais mes yeux et mes mains n'y vont pas aussi facilement.
Le 21, la soufflerie fonctionne quelques secondes et recommence son bruit de ferraille. Je la dépose pour l'emporter.
Pour ranger les fils volants, impossible de clouer une baguette dans le mur : il est trop fragile (isolation).
Je colle une baguette avec du double-face. Elle reste en place une dizaine de minutes avant de tomber.
Le 22, à Villeurbanne, je mets une rondelle en nylon sur l'axe de la soufflerie. La voici le 23 : elle tourne
depuis la veille.

Janvier a été chaud. Les plantes poussent (ici des jonquilles). Mais février va être sibérien.

Février 2018
C'est petit à petit que je place les câbles. Au bout des baguettes c'est encore du bricolage.
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Mars 2018
Les jonquilles ont résisté au gel et les jacinthes s'ouvrent.

Les câbles du radiateur sont enfin entièrement dans des goulottes.

Le dernier w-e d'hiver, jonquilles et jacinthes subissent la pluie.
D'autre jonquilles, au coeur plus orangé, poussent au pied du forsythia.


Dans le bureau, j'ai installé un meuble à tiroirs qui était dans celui de Villeurbanne.

Avril 2018
Mon motoculteur n'étant pas encore réparé, j'ai emprunté une bineuse électrique (merci Laurence) avec laquelle j'ai biné
la partie relativement meuble du terrain. Pour le reste caillouteux, je le ferai quand j'aurai réparé le motoculteur.
Voici les deux engins et la partie travaillée ce week-end de Pâques.


La semaine suivante, je délimite avec des planches mon futur jardin. Voici le travail en cours et terminé.


Le dimanche suivant, je vais chercher de la bonne terre le matin. L'après-midi, je décharge les caisses, les rapproche du jardin puis les couvre pour les protéger d'une pluie possible.


Le lundi matin, je décide d'enlever la terre caillouteuse pour faire place à la bonne terre apportée. A 9h30, le jardin est à demi creusé et j'arrive sur une souche.


Sur une ancienne photo de Google, on voit l'arbre qui était derrière la villa.

A midi, j'ai tout creusé sauf autour des fraisiers que je laissse en place. J'ai versé la terre sauf deux caisses qui boucheront le trou quand j'aurais enlevé la souche si j'y arrive.

Mai 2018
Le muguet est au rendez-vous.

En 2016, j'avais installé les bibliothèque sans me poser de questions. Cette année, je décide de partager le salon avec un rayonnage. Pour celà, je dois décaler une bibliothèque de 50 cm. Pour la déplacer, il ne suffit pas de souffler dessus. Je dois d'abord la vider presque enrièrement. La voici vidée, avec les livres un peu partout.

J'installe aussi les tableaux ramenés de Villeurbanne. Au salon les 2 chiens peints à l'huile par ma mère dans sa jeunesse et dans l'entrée deux sous-bois qu'elle avait faits à l'aquerelle et un tableau de mon cru.



Le rosier rapporté de Villeurbanne prend lentement. Le chèvrefeuille fleurit.
J'ai déplacé un rejet du lilas. J'ai l'intention d'en replanter d'autres quand j'aurai le temps.



Une guêpe a installé sa nurserie dans la haie de tuyas. Comme elle n'a pas les yeux bridés, je la laisse tranquille.

Cet hiver, j'avais pris une photo d'un arbre rabougri du voisinage. Je viens de reprendre la même.


La cuisinière qui était ici est maintenant à Villeurbanne et réciproquement.


Les 2 derniers jours du printemps, je tonds enfin les champs qui ne sont pas encore des pelouses mais le seront un jour.



Le frigo dont j'avais déjà dû recoller les tiroirs ferme mal. Le congélateur se remplit de glace en quelques jours.

août
Début Août, je décide de permuter le frigo et le buffet. Comme toujours je le fais seul.

Septembre
côté atelier, je fixe au mur mes boîtes à boulons.

Le sous-sol étant plein, je m'intéresse à une annonce de cabane de jardin à vendre pas trop loin.
Le temps de me décider, elle est déjà vendue. Mais j'ai appris que je dois la mettre soit contre le voisin soit à au moins 3 mètres.
N'ayant pas 3 mètres de dégagement, si j'en achète une je devrai la mettre dans un angle.
Je décide d'enlever l'arbre de l'angle. Je découvre que c'est une cépée avec une énorme souche.
Le voici à moitié dégagée, puis entièrement. Restera à éliminer la souche.

J'ai étalé les branches au soleil pour qu'elles sèchent assez vite.

Il y a un an, j'ai peint le sol de l'atelier. Il me reste de la peinture et je décide de peindre les marches d'escalier et un
bout du sol à son pied. Il y a des contraintes : 4 à 6 heures entre couches (ni plus ni moins) et température supérieure à 15°.
Voici l'escalier en cours de préparation le samedi 9.




Je pensais d'abord ne peindre que les marches et pas les contre-marche. Mais ça complique trop.
Sinon, j'aurais peint les contremarches l'année prochaine avec les murs.
Et le dimanche, je passe la première couche le matin .


L'après-midi, la 2ème couche vient juste d'être terminée : ça brille comme ça ne brillera jamais plus.


Pour détruire la souche, je perce chaque élément et y dépose du gros sel.




Et je la prive de pluie et de soleil.

J'ai poncé un rayonnage destiné à la cuisine

La semaine suivante, je le vernis.

Octobre
J'ai des difficultés pour accrocher le rayonnage seul. Je commence par le percher sur le carton du lave-vaisselle.

Mais il reste en équilibre et mes tournevis mordent mal au ras de la planche.
J'ai même dû arracher la planchette décorative qui gène l'accès des outils.

Je profite des derniers jours de soleil pour commencer à réparer dehors un jeu de QP1C.

Le trou dans la patte de fixation est au ras de la planche supérieure. Comme il faut de la force pour visser, le tourne-vis ne doit pas être incliné. Je dois pour cela acheter un porte-embout assez long.

Le rayon enfin fixé, je regrette de ne pas en avoir peint le fond quand il était démonté.

Il reste à recoller la bagette arrachée pécédemment.

Et voilà le travail

Novembre 2018
Les gabions
Des voitures se garent parfois à l'entrée du chemin.

Mon propriétaire accepte que je mette des gabions en limite de son pré.
J'en commande deux en Allemagne. Ils arrivent séparément. Le 1er week-end, je n'en ai qu'un.

Pour les remplir, je prends contact avec un couple qui a trop de pierres. Comme ils se les sont fait livrer, ils ont dû
en commander un certain volume plusieurs fois supérieur à leur besoin. Le surplus les encombre devant leur entrée.
Ces pierres étaient à côté de Saint-Étienne. J'y suis allé par le col de la République mais arrivé à St-Étienne, je me suis trompé
et ai tourné 3/4 d'heures.
Chargement des pierres
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Au retour, j'ai d'abord pris l'A47 mais ma vitesse était beaucoup trop faible pour l'autoroute avec le Trafic (sur)chargé et surtout j'avais peur de ne pas pouvoir freiner assez rapidemnt en cas de problème. Après Rive-de-Giers j'ai rejoint la vallée du Rhône par de petites routes.
déchargement
L'après-midi, j'ai placé le gabion et l'ai rempli. Mes gabions étant de 1mx50cmx30cm, leur volume théorique total est de 0,3 m3 mais
les quelques neurones fatigués qui me restent avaient calculé le double. J'ai donc emporté 20 caisses de 30 litres quand 10 auraient suffi.
Je n'ai réalisé l'erreur que le soir en remplissant le gabion.
Puis devant faire de la route le lendemain, j'ai vidé le Trafic en répartissant les pierres restantes entre toutes les caisses.

Il manque 4 caisses pleines sur cette photo. Je les ai laissées près de l'entrée.
pesage
Le week-end suivant, je pèse des caisses pleines à ras comme celles qui étaient posées sur le plancher du camion et d'autres dont les
pierres dépassent en dôme comme celles non surmontées. Je trouve des valeurs moyennes de 35,5 kg et 42 kg.
J'arrive à un total de 800 kg. Le Trafic n'était donc pas surchargé (il est censé accepter un tonne).
Au chargement, j'avais manipulé toutes les pierres une à une pour les mettre dans les caisses jusqu'au fourgon, puis à nouveau la moitié
d'entre elles pour les répartir vu que j'arrivais avec des caisses pleines mais ne manipulais dans le camion que des caisses à demi pleines que
je complètais ensuite.
A la villa, pareil en sens contraire. J'ai donc manipulé près de 2 tonnes et demie. Les douleurs ne sont apparues que 3 jours après.
La balance mécanique de mon grand'père n'avait pas servi depuis un bon demi-siècle passé dans un débarras mais il n'a pas été
nécessaire de lui remplacer la moindre batterie et aucun condensateur ne s'était décomposé. Surprenant ce qu'on peut faire avec des
machines dépourvues d'électronique et dont l'obsolescence n'avait pas été programmée !

Les gabions en place
J'ai placé le soir même celui que j'avais reçu et le second le week-end suivant.


Les 2 gabions remplis, il me reste de quoi en remplir un ou deux autres.

Les buzzers
Je n'ai plus de matériel à Villeurbanne. C'est donc ici que je répare les différents buzzers des 2 clubs, dehors ou dedans.


Décembre 2018
Le rayonnage bas
Je vais déménager ce rayonnage. J'en ai déjà mis une partie dans des caisses.

La cuisine de la villa est petite. Je dois réduire ce rayonnage en largeur, mais aussi en hauteur pour qu'il n'empêche pas l'ouverture de la fenêtre.
Le frigo
Je décide d'apporter à la villa mon frigo américain et j'emporte d'abord l'ancien à Villeurbanne.
Je démonte le frigo américain (portes, tiroirs, rayons...) et l'avance un peu. Je fais passer l'autre derrière par la porte
entre la cuisine et l'ancien bureau.

Au moment de sortir de la cuisine, les supports de portes empêchent de passer et il me faudra les enlever.


Le chargement dans le Trafic puis le déchargement m'ont trop occupé pour que je prenne des photos.
Pour corser le tout, une roue de mon chariot a crevé le rendant très dur à pousser. Il me faudra trouver une chambre correspondant.
Voici le frigo arrivé dans la cuisine.

Je laisse reposer jusqu'au dimanche matin, et quand je le branche, le disjoncteur général saute.
Encore du boulot en perspective. Lors du démontage, je n'avais démonté que de la mécanique sans toucher au câblage.
Le 17, je découvre 4 squatters d'abord autour du Trafic, puis dans le jardin. Pas sauvages, ils sont accourus voir si j'avais
quelquechose à leur donner. Je ne pense pas qu'ils survivent à la période des fêtes.

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